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Par LIETARD le 31 Décembre 2020 à 18:59
Je ne souhaitais pas que le diorama A4 présenté au concours de TRAINSMANIA 2019 (voir L'aventure TRAINSMANIA 2019 (1/2) et L'aventure TRAINSMANIA 2019 (2/2)) termine sa vie figé au mieux sur une étagère ou au pire au fond d'un carton. Non, je voulais que sa vie continue en lui permettant de "faire passer des trains".
C'est pour cela que j'ai décidé de l'intégrer dans un réseau. Un module gauche et un module droit sont venus le compléter.
(cliquer sur la partie gauche, la partie centrale ou la partie de droite de l'image pour l'agrandir) La place disponible étant restreinte, il a fallut transformer quelque peu la réalité tant au niveau de l'environnement qu'au niveau de la structure des bâtiments représentés.
Ainsi, sur le module de gauche...
Sur le module de droite...
On trouve la maison "Menu", un ancien chevillard (ou chevilleur selon la région). Dans la réalité, ce bâtiment est plus long et se prolonge, sur le devant, par les ateliers de boucherie aujourd'hui malheureusement inactifs. (cliquer sur l'image pour l'agrandir) A l'arrière, un chemin de terre longe la voie. On y retrouve, aux bonnes dimensions cette fois, la cabine électrique qui alimente aujourd'hui le passage à niveau.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Derrière le fond de décor, ce sont des voies cachées, avec deux voies de garage, qui viennent finaliser l'ovale double voie et permettent aux convois de circuler en boucle.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Mon honnêteté m'oblige à conclure cet article en vous précisant que ce module n'est en fait pas terminé...
Il me reste à peindre le cache du diorama mais bon c'est pas le plus difficile.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Bon continuation à vous!
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Par LIETARD le 9 Octobre 2019 à 19:13
Le diorama terminé, pour être sélectionné, il faut, selon le règlement, envoyer quatre photographies à l'organisateur du concours (Loco-Revue).
Voici les quatre clichés expédiés...
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Quelques jours plus tard, un mail m'annonce que ma réalisation a été retenue.
C'est ainsi qu'en début mai, mon diorama se retrouve trônant fièrement dans la vitrine de Loco Revue tout au long des trois jours qu'a duré Trainsmania 2019.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Quelque trente-six dioramas avaient été sélectionnés pas l'équipe de Loco Revue mais seuls trente et un étaient finalement présents.
La remise des prix avait lieu le samedi en soirée. Sans vouloir effectué de classement, nous avons tous été récompensés à des degrés divers de lots de valeurs différentes offerts par les sponsors.
Personnellement, j'ai reçu une magnifique mallette contenant un applicateur de "Static Grass" PSG-2 de chez Peco et une sélection d'herbes différentes ainsi qu'un numéro spécial de Ferrovissime consacré aux locomotives diesel de vitesse.
Une belle récompense à mes yeux!
Outre le plaisir d'avoir réalisé ce "retour au passé", ma participation à ce concours a permis de m'évaluer face à d'autres avec, au final, un résultat qui me conforte face à mes entreprises et ma façon de travailler dans le monde du modélisme ferroviaire.
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Par LIETARD le 19 Septembre 2019 à 10:25
En feuilletant le magazine "Loco-Revue" de février 2019, je déniche un encart publicitaire ventant la seconde édition de "TRAINSMANIA" au Lille - Grand Palais.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Dans la rubrique "Découvrez les temps forts du salon!", je m'aperçois qu'un concours de dioramas est organisé. Intéressant ça!
Mais... quelles sont les conditions à remplir pour faire partie de l'aventure?
Après quelques clics de souris sur le site de l'expo, je trouve des précisions:
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Il me faut moins d'une seconde pour décider de ma participation!
Laissant vagabonder mon esprit, je me souviens que, longeant la rue située à l'arrière de la gare de Péruwelz (Belgique), des entreprises avaient un embranchement ferroviaire à écartement standard qui les reliaient au réseau de la SNCB. Malheureusement, le temps, les situations économiques précaires et les diverses reconversions ont fait leur oeuvre. De ces entreprises, il ne reste aucune trace. Sur le terrain se dressent aujourd'hui de flamboyants immeubles à appartements.
Cela me rappelle, ici, la chanson d'Eddy Mitchell "La dernière Séance": "Mais je connais le destin d'un cinéma de quartier, il finira en garage, en building supermarché."
Chassons cette nostalgie propre à nos âges avancés, il faut retrouver des traces de ce proche passé.
Je contacte Jean-Pierre, le petit-fils du fondateur de la maison Midol (une des entreprises), qui par chance à garder des photos qu'il avait faites durant la vente des bâtiments.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Ces illustrations me furent d'un grand secours et je ne peux encore que le remercier de son aide.
Pour commencer les travaux, j'utilise la version "démo" du logiciel de conception de plans de voie ferrée SCARM (Simple Computer Aided Railway Modeller). Il me permet de visualiser le tracé définitif que je souhaite obtenir.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) A la vue de ce plan, après le report en réel (à l'aide de voies Fleischman Piccolo '*') sur une feuille A4 avec l'essai d'une petite variation (ouverture de la boucle d'embranchement) ainsi que l'emplacement du bâtiment, on peut se rendre compte que "tout tient" sur la surface.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) '*' Je tenais à utiliser des "restes" de voies pour ne pas faire de frais inutiles. Un challenge comme un autre! LOL
En définitive, je décide de conserver la version dans laquelle la courbe est la plus serrée.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Un premier test est réalisé pour s'assurer du gabarit de l'entrée principale et adapter au mieux la partie du bâtiment qui sera représentée sur le diorama.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) En cette fin d'hiver, mon supermarché met en promotion des clémentines vendures en petite caisse en bois. Cette caissette retournée offrira un support original à mon diorama. Cependant, les dimensions de la surface étant un peu plus petites que l'A4, je compense par un plan de roulement découpé dans un fond de sous-verre pour photos trouvé chez mon ami Emile.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Comme à mon habitude, je recouvre la surface d'une plaque de liège de 2 mm d'épaisseur. Etape inutile me direz-vous mais, outre le fait d'insonoriser la surface, j'aime bien travailler de la sorte.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Je mets en place le système de voies maintenu par des petits clous qui disparaîtront une fois le ballast posé. Il est à noter que les voies extensibles (visibles sur la gauche de la photo) seront ensuite remplacées, esthétisme oblige, par des morceaux de voies coupées à la bonne dimension.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Commence l'enfouissement de la voie au niveau de la route et du bâtiment en collant, de part et d'autre des rails, du carton de forme adaptée.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Durant le séchage, ne perdons pas de temps. Le contour de chaque brique de la façade est creusé à l'aide d'une pointe ce qui donne du relief à l'ensemble.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) La même opération est pratiquée pour le mur intérieur qui ne sera pas trop visible mais quand on aime on ne compte pas.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) C'est au tour de la base du bâtiment d'être posée et avec elle, l'entre-rails, ce qui enfouira complètement la voie à ce niveau.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Une fois le bâtiment assemblé, il est mis en place à l'endroit prévu et l'arrondi des surfaces pavées au préalable découpées est testé.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Pour changer un peu d'activité, je décide de m'occuper du wagon tombereau qui servira à acheminer le charbon à l'entreprise. Comme cela se faisait souvent dans la réalité au risque de dépasser les normes de sécurité, le wagon va recevoir des planches qui vont relever les bords pour augmenter la capacité de chargement.
Le fond est fait de carton (invisible une fois terminé) et 4 morceaux rectangulaires de balsa font l'affaire pour symboliser les planches latérales.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Quelques couches successives de sable pour figurer le volume de la cargaison.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) De la couleur noir sur le sable et une patine noire sur les "planches" et voilà le wagon prêt pour effectuer sa livraison.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Mise en place définitive des pavés qui enterreront la voie au niveau de la route ainsi que du trottoir le long du bâtiment. Un baquet à charbon est installé dans l'entrée pour la vente directe. A remarquer, à l'avant plan de la photo de gauche, que les rails extensibles ont été remplacées par des coupons de voies simples.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Quelques avancées plus tard...
- vers le haut, la route a été installée avec la deuxième bordure; - au centre droit, la petite propriété du forain est clôturée de plaques de bétons; - à côté sur la gauche, s'étend un petit jardinet. (cliquer sur l'image pour l'agrandir) Pour les plaques de béton, deux rectangles sont découpés dans un carton d'emballage de pizza surgelée d'une marque bien connue mais dont je tairai le nom ici, lol. Les deux morceaux sont ensuite collés l'un sur l'autre, côtés granuleux vers l'extérieur. A l'aide d'une pointe, des lignes sont gravées dans le sens horizontal pour symboliser la séparation des plaques. Les piquets sont constitués de languettes découpées dans le même matériau, pliées en deux et fixées dans le sens vertical par rapport au carton rectangulaires.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Un léger lavis d'acrylique gris et ensuite écru vient parfaire l'illusion du béton vieilli par le temps.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici une vue de la clôture sous un autre angle. La terre a été étendue sur le sol de la propriété du forain et celui du jardinet. On remarque également que le ballast a commencé à être posé.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) La clôture du jardinet est faite de toile pour moustiquaire peinte de couleur verte et dont une ligne sur deux est enlevée donnant ainsi l'impression d'un ajouré rectangulaire. Les piquets de béton sont fabriqués selon le même principe que celui adopté pour les plaques de béton. Le résultat obtenu est assez réaliste.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Le ballast continue d'être installé. L'herbe commence à apparaître. Le semis est sorti de terre dans le jardin. Les poteaux, qui soutiendront les deux battants de la porte de fermeture du domaine de la société ferroviaire, ont trouvé leur place.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Sur le devant, à gauche, on peut apercevoir un îlot de carton qui servira de support au large trottoir qui longe les voies.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) La terre continue d'être étendue entre la route, les clôtures et le ballast . A gauche, on aperçoit qu'un passage destiné aux piétons permet de traverser les voies.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Les traverses du passage dans les voies ont pris leur couleur. Le trottoir a été dallé sur le devant du diorama. Un trou dans les dalles laisse entrevoir de la terre: il accueillera bientôt un arbre. Une barrière de béton "faite maison" empêche par sécurité les promeneurs d'accéder aux infrastructures ferroviaires.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Entretemps, la petite habitation du forain a été construite et un essai de mise en place est effectué. Dans le jardinet, les semis sont devenus de belles plantes. Sur la gauche, une perche à haricots a été dressée.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Me voici à présent avec un petit problème: faire disparaître le levier d'aiguille qui vient esthétiquement troubler l'ensemble mais tout en laissant opérationnelle la dérivation.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) La solution est trouvée. Le défi est réussi: 4 montants de bois et une "tôle" dissimulent le levier, des petits bouts de tube de plastique guident le fil de fer (morceau de fil électrique de fine section) qui actionne l'aiguille. Le système disparaîtra sous du papier fort plié en U donnant ainsi l'impression qu'un caniveau technique longe la voie.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) L'étape suivant consiste à apporter , à l'ensemble, de la verdure et quelques détails scéniques...
Ici, dans la propriété du forain, le manège "balançoires" qui a fait le bonheur de tant de jeunes et moins jeunes par le passé est aujourd'hui envahi par la végétation.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Là, un poteau électrique, les portes de fermeture du domaine ferroviaire, à gauche une clôture de protection, un tas de caillou et de sable, à droite un tas de charbon...
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Sur le devant, un arbre d'ornement a été planté. Un support publicitaire annonçant l'évènement Trainsmania a été installé. Quelques buissons prennent place également.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Le gros du travail est maintenant terminé. Il reste à créer et à poser le décor.
Comme toutes les mesures tournent autour du A4, je choisis, pour le fond, une feuille 210x297 de couleur bleu ciel sur laquelle je viens peindre des trainées d'un bleu acrylique plus soutenu (bleu roi). Celui-ci sec, je peins les nuages à la couleur acrylique blanche.
Pour les bâtiments de la rue, des photos en perspective, comme celles ci-dessous, sont venues en appui.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Quelques clics avec mon éditeur d'images préféré (GIMP), les éléments parasites ont disparu, les bâtiments et la route ont été détourés et la mise aux dimensions correctes a été effectuées. Comme je ne tenais pas à mélanger, sur le fond du diorama, peinture et photo, l'application d'un filtre a fait apparaître un aspect "peinture à l'huile" à l'ensemble.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Pour donner du relief à ce fond de décor, l'idée m'est venue de superposer plusieurs plans, fait chacun de l'image d'origine tronquée, collés les uns sur les autres.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Voilà le résultat...
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Toujours dans l'idée "plus de relief", je décide de floquer les "verdures" de la photo et faire apparaître quelques arbres.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Après la mise en place du fond du diorama, de mise en scène de personnages et de véhicules, on peut enfin dire que... "le passé est recomposé".
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Une très belle aventure qui m'amène à présenter au public un diorama fini aux dimensions requises avec la fierté d'avoir employé pour le construire un maximum de matériaux courants:
- du papier fort (160, 200 et 240 gr/m²) pour les bâtiments que j'ai conçus, imprimés, découpés et assemblés, - du carton d'emballage de cubis de vin ou de pizza comme support de bâtiments ou pour enterrer la voie, - des pics apéritifs ou à brochette pour les éléments cylindriques (cheminée, poteaux électriques...), - du sable rapporté d'un week-end à la côte pour la terre, - de la mousse florale teinte comme fond de verdure, - du fil électrique torsadé floqué pour les arbres, - de la toile de moustiquaire pour les clôtures grillagées, - du balsa pour certains éléments de bois (traverses de passage de voies, balançoires, barrières...). Ce sont les éléments qui me viennent à l'esprit mais la liste est loin d'être exhaustive.
2 commentaires -
Par LIETARD le 13 Juin 2018 à 09:24
Faisant partie intégrante de la gare (voir ici la maquette finale), la halle de marchandise se devait de figurer sur le réseau et sa présence était prévue de longue date.
C'est à partir de photos du site réel (ou du moins ce que le temps en a fait) que j'ai élaboré la réduction du bâtiment.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Quelques heures plus tard et l'aide du logiciel de dessin qui a ma préférence, la halle sort de l'imprimante sur un support papier de 160 gr/m². Une couche de vernis acrylique mat TALENS AMSTERDAM et les couleurs sont fixées sur le papier.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Les façades et les pignons sont découpés. Les emplacements des fenêtres et des portes sont évidés.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) C'est ensuite la découpe des colonnades en briques et des pierres du soubassement qui assureront le relief de la façade.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Une fois l'opération terminée, une présentation d'ensemble pour me conforter dans l'idée d'utiliser, comme huisserie, du treillis de moustiquaire peint de couleur blanche. Cela symbolisera parfaitement les fenêtres à petits carreaux.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Le front des colonnades et les pierres du soubassement sont collés sur la façade et font apparaître le relief escompté.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) La photographie qui suit nous fait découvrir l'évolution de l'assemblage:
- sur la droite, le tour de chaque ouverture est doublé d'un plastique autocollant noir pour empêcher les fuites de lumière d'un éventuel éclairage intérieur; - au milieu, dans la surface de consolidation, des ouvertures de dimensions adéquates sont pratiquées, elle accueilleront la huisserie en compensant l'épaisseur des châssis; - à gauche, une face où le mur est terminé et n'attends plus que la pose des fenêtres. (cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici deux photos présentant la finition une fois que les deux façades et les pignons ont été assemblés et que les châssis, le vitrage et le mur intérieur ont été posés.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Les quatre pans de façade sont refermés. Il faut avouer que l'apparence donnée par la huisserie est assez "bluffante".
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Il faut à présent s'occuper de la couverture du bâtiment. Je commence par la sous-toiture à laquelle j'ajoute un cadre "plafond" pour rigidifier l'ensemble en lui donnant une forme bien rectangulaire.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) La mise en place et le collage est effectué. Je dois avouer que pour la sous-toiture vue du dessus le résultat ne respire pas la perfection. Cependant, je me dis que tout cela disparaîtra sous la toiture proprement dite.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Ensuite, c'est la préparation du plancher qui assurera la régularité de la surface du sol de la halle.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) On y remarquera les deux coins découpés en vue de laisser le système d'éclairage par leds. Deux encoches sont créées en milieu de façade pour accueillir la base du cadre "à glissières" construit pour les portes coulissantes de la "plate-forme".
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Tous ces éléments posés, c'est autour de la toiture d'être mise en place. Elle est dans la réalité faite en plaques ondulées d'Eternit. Un montage à partir d'une photo extraite de la toile donne une résultat satisfaisant à l'échelle N.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Un vieux stylo bille vide permettra de donner du relief à la couverture du bâtiment.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Les "ondulés" sont mis en place.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) C'est au tour des faîtières d'être préparées. Je décide d'assurer le façonnage de l'arrondi en utilisant un pic à brochette sur toute la longueur du toit.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Le petit montage terminé et collé, la halle est globalement terminée.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) C'est au tour de la cheminée d'être imprimée, assemblée et posée sur le toit.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Un morceau de pic à brochette, un petit bout de paille découpé et un sequin serviront à confectionner le conduit de cheminée.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Toujours dans le cadre des finitions, les gouttières, une fois mise en forme et peintes, sont placées.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Toujours Les descentes d'eau sont elles aussi placées de part et d'autre des portes coulissantes.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Voilà quelques photos qui vous permettront d'apprécier le bâtiment terminé.
(cliquer sur une image pour l'agrandir)
2 commentaires -
Par LIETARD le 10 Janvier 2018 à 18:27
Depuis le début de mon aventure dans le modélisme ferroviaire, mes techniques de construction de bâtiments ont évolué dans l'ensemble mais surtout au niveau de certains embellissements.
Un exemple est donné par l'utilisation du balsa pour les pièces en bois. C'est l'emploi de ce matériau qui m'a permis d'apporter un plus à ma remise à locomotive (voir ici). Pour la petite histoire, cette bâtisse avait été le premier édifice que j'avais construit en utilisant du papier fort, la technique de l'impression jet d'encre, de la découpe manuelle et du collage des éléments obtenus.
Vous pouvez admirer ici le rendu...
Avant... Après... (cliquer sur une image pour l'agrandir)
Avant... Après... (cliquer sur une image pour l'agrandir)
En détail, les portes...
Avant... Après... (cliquer sur une image pour l'agrandir) Un travail d'un certain intérêt, je crois.
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